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Tout savoir sur l’épreuve triathlon cyclisme

En triathlon, il faut être nageur, coureur… et cycliste ! Eh oui, le vélo représente la deuxième épreuve d’un triathlon, et pas des moindres : c’est en selle que les triathlètes passent le plus de temps. Vous comptez vous lancer dans ce triple sport ? On vous propose un focus sur la partie triathlon cyclisme pour bien vous préparer et aborder sereinement la discipline le jour J.

En quoi consiste l’épreuve de vélo ?

Pour rappel, le triathlon est une discipline enchaînée qui combine trois épreuves se déroulant dans un ordre identique : la natation, le cyclisme et la course à pied.

Le vélo intervient donc en deuxième position lors d’une compétition de triathlon. C’est l’épreuve la plus longue ! Les participants terminent la composante natation, puis se ruent dans le parc à vélos pour y récupérer leur monture avant de grimper sur la selle.

L’objectif consiste à parcourir une distance spécifique en un minimum de temps sur une surface bitumée (ou accidentée en cross-triathlon). Le tracé dessiné par les organisateurs peut prendre la forme d’un aller-retour, d’une boucle ou d’un mix des deux.

Quant à la typologie du circuit et sa difficulté, elle est principalement conditionnée par le relief. Certains parcours sont ainsi roulants, tandis que d’autres à fort dénivelé positif requièrent des talents de grimpeur.

Le drafting en triathlon : autorisé ou non ?

Passionné de vélo de route, vous avez l’habitude de rouler en peloton ? Gare au drafting ! En triathlon, cette pratique est en principe interdite. Pourquoi ? Eh bien, pour rester dans la logique de l’effort individuel fourni en solitaire.

Aussi appelé « aspiration abri », le drafting consiste à « rouler dans la roue » du cycliste devant soi afin de bénéficier du phénomène d’aspiration et de se protéger du vent. Cela offre un énorme gain d’économie de puissance et d’énergie.

Néanmoins, la Fédération française de triathlon (FFTRI) proscrit le drafting dans la majorité des courses. Le triathlète doit ainsi veiller à laisser une distance de 7 mètres (formats XS à M) ou de 12 mètres (formats L à XXL) avec le vélo qui le précède, sous peine d’écoper d’une pénalité. Par ailleurs, le temps maximal autorisé pour dépasser un adversaire s’élève à 25 secondes.

En revanche, les concurrents ont le droit de drafter lors des compétitions internationales telles que les Jeux olympiques ou les Championnats du monde WTS.

La partie triathlon cyclisme : quelles distances ?

Il existe plusieurs distances prédéfinies en triathlon, que cela soit pour l’épreuve de natation, de vélo ou de course à pied. En cyclisme, la distance à parcourir peut atteindre les 190 km ! Elle est déterminée en fonction des formats de course suivants :

  • triathlon XS : 10 km ;
  • triathlon S : 20 km ;
  • triathlon M : 40 km (la distance olympique) ;
  • triathlon L : 80 km ;
  • Half Ironman : 90 km ;
  • triathlon XL : 120 km ;
  • triathlon XXL ou Ironman : 180 km.

Comment gérer les transitions à vélo ?

Les transitions représentent la 4e discipline du triathlon. Et le vélo est impliqué dans les deux transitions qui rythment la course ! Ces étapes jouent un rôle crucial dans le résultat final puisque le chronomètre continue de tourner lors des changements d’épreuves.

Deux scénarios sont envisageables :

  • vous réussissez un enchaînement rapide et gagnez du temps vis-à-vis de vos concurrents ;
  • vous perdez du temps lors de la transition et chutez dans le classement général.

Voilà pourquoi, lorsqu’on commence le triathlon, il est nécessaire de travailler les transitions en amont afin de les réaliser convenablement.

Lors de la première transition natation-vélo, il se peut que vous soyez désorienté en sortant de l’eau. Reprenez vos esprits et courez jusqu’au parc à vélos. Pendant ce temps, profitez-en pour dézipper votre combinaison néoprène et ôtez votre bonnet et vos lunettes de natation. Ensuite, enfilez votre casque et votre écran de protection, positionnez votre dossard, puis récupérez votre bicyclette.

Lors de la deuxième transition vélo-course à pied, il n’y a qu’à reposer le vélo et le casque et chausser ses runnings.

Voici quelques conseils pour bien gérer vos transitions et glaner de précieuses secondes :

  • Apprenez à mettre et enlever vos chaussures sur le vélo, pendant le pédalage.
  • Clipsez vos chaussures sur les pédales auto avant le début de la course. Attachez-les au vélo grâce à un élastique afin de les maintenir en position horizontale pour faciliter l’insertion du pied.
  • Pédalez sans chaussettes.
  • Entraînez-vous à monter et descendre du vélo en courant.

Notez que vous devez impérativement fermer la jugulaire de votre casque avant de prendre votre vélo. De la même façon, il est obligatoire de sortir du parc à vélos avant de vous mettre en selle. Il vous faudra donc courir tout en poussant le vélo jusqu’à la ligne de départ de l’épreuve cycliste.

Quel équipement vélo pour le triathlon ?

La pièce maîtresse est bien entendu le deux-roues. Vous avez le choix entre un vélo de route ou un vélo de triathlon, qui ressemble à s’y méprendre à un vélo de contre-la-montre, avec un design pensé pour l’aérodynamisme.

Ensuite, il vous faudra des chaussures de cycle spécialement conçues pour la pratique du triathlon. Si vous faites déjà du vélo, vous remarquerez que les chaussures de triathlon diffèrent légèrement de celles utilisées en cyclisme sur route. Elles disposent d’une ouverture plus large pour être enfilées rapidement et sont dotées d’une languette arrière pour être fixées au cadre avec des élastiques. Enfin, les modèles de triathlon proposent un système de serrage composé d’une bande velcro unique, parfois double, ou d’une boucle micrométrique.

La tenue du parfait triathlète est complétée par la trifonction, le casque (port obligatoire), les lunettes de vélo et les gants.

Hors compétition, des vêtements adaptés à l’entraînement sont indispensables : un maillot de vélo fabriqué dans un tissu respirant pour évacuer l’humidité et un cuissard avec peau de chamois pour rouler confortablement durant de longues heures. En hiver, troquez votre bas de cyclisme contre un collant doublé polaire et enfilez une veste thermique par-dessus votre sous-vêtement technique et votre maillot.

Comment s’entraîner pour l’épreuve de cyclisme ?

Si les formats découverte et sprint sont accessibles aux débutants, les triathlons longues distances se préparent ! En vélo, comme pour les autres épreuves, la clé de l’entraînement est d’y aller progressivement. Brûler les étapes ne sert à rien, si ce n’est engendrer un surplus de fatigue et des blessures.

Commencez par choisir un vélo à votre taille et régler correctement les périphériques : la potence, la hauteur de selle, l’angle de selle… Une étude posturale peut s’avérer intéressante pour trouver la position optimale sur sa monture.

Ensuite, il va falloir rouler ! En extérieur, mais aussi à la maison sur un home-trainer lors des journées pluvieuses. Cadence, puissance maximale aérobie (PMA), watts, vélocité, force, endurance, RPM, pédalage rond… autant de termes que vous allez apprendre à décoder pour progresser à vélo !

L’épreuve de triathlon cyclisme n’a plus de secrets pour vous ! Alors, prêt à mettre la plaque ? Si oui, on vous suggère de vous renseigner aussi sur l’épreuve de natation et l’épreuve de course à pied pour disputer votre premier triathlon en toute sérénité.

Faites du tri dans votre vie !

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