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Quelle est l’alimentation d’un coureur cycliste professionnel ?

Quand on s’intéresse de près au cyclisme, il y a une quantité impressionnante de données à enregistrer pour un débutant (choix du matériel, de l’équipement, entraînement, alimentation, etc.). Après avoir découvert quelle alimentation suivre pour un cycliste, aujourd’hui on vous propose un focus sur l’alimentation suivie par un coureur cycliste professionnel.

Quelle est l’importance de l’alimentation pour un coureur cycliste professionnel ?

L’alimentation joue un rôle prépondérant dans la préparation d’un coureur cycliste et est tout aussi importante à gérer que l’entraînement pour être au top le jour J. Et cela est d’autant plus valable sur les courses à étapes comme le Tour de France qui dure de plusieurs jours à plusieurs semaines. De ce fait, l’alimentation d’un cycliste professionnel est très encadrée car elle constitue la source d’énergie dont le coureur a besoin pour performer en courses. L’alimentation du cycliste professionnel ne concerne pas uniquement le jour de la course, mais se prépare plusieurs jours avant une compétition afin de préparer l’organisme en faisant des réserves énergétiques.
Si le corps n’est pas suffisamment alimenté, il se fatigue plus vite et, par conséquent, le coureur ne peut fournir une performance élevée. Outre les risques de contre-performance, une mauvaise alimentation ou une mauvaise hygiène de vie de la part d’un coureur cycliste professionnel, peut également entraîner des problèmes plus graves comme des blessures, sans parler des risques d’hypoglycémie, une mauvaise récupération, etc.

Quelles boissons énergétiques sont favorisées pour le Tour de France ?

Un coureur cycliste doit absorber au minimum un demi-litre par demi-heure, soit un bidon de 500ml. Cette mesure est bien évidemment à adapter en fonction des conditions météorologiques et de l’effort fourni.
Mais un coureur cycliste ne se contente pas de boire de l’eau mais des boissons énergétiques afin d’aider l’organisme à reconstituer les réserves en glycogène. Cela est autant valable pour les coureurs cyclistes du dimanche que pour les coureurs cyclistes professionnels. Mais savez-vous quelles boissons énergétiques sont favorisées pour le Tour de France ?

On distingue trois catégories de boissons énergétiques : les boissons d’attente (à consommer avant l’effort), les boissons isotoniques (à consommer durant l’effort) et les boissons de récupération (à consommer après l’effort). Elles ont chacune leurs spécificités car elles ne répondent pas aux mêmes besoins selon le moment où elles sont consommées.
Avant l’effort, la boisson d’attente sert au coureur à prendre le départ en étant parfaitement hydraté mais aussi à augmenter ses réserves en glucides et en minéraux avant le départ. Pour cela, elle est généralement composée d’eau minérale, de Maltodextrine et de poudres de minéraux. Elle est à consommer par petites gorgées dans l’heure et demie qui précède le départ de la course.
Pendant l’effort, la boisson a trois objectifs : hydrater, assurer les apports caloriques et compenser les pertes en minéraux. C’est la raison pour laquelle les boissons énergétiques sont généralement enrichies en glucides (lents et/ou rapides), en minéraux et parfois en acides aminés.
Après l’effort, les coureurs consomment généralement un shaker rempli avec une boisson végétale, des fruits mixés, de la protéine en poudre et des acides aminés, qui peut également être complété par une boisson de reminéralisation (enrichi en minéraux) afin de recharger ce qui a pu être perdu avec la transpiration durant la course.
Juste avant de dormir, les coureurs peuvent encore consommer un mélange d’eau et de Maltodextrine afin d’avoir un apport glucidique supplémentaire pour le lendemain.

Quel est le régime alimentaire des coureurs du Tour de France ?

Une course cycliste professionnelle dure plusieurs heures. Les coureurs ont donc besoin de s’alimenter en conséquence avant, pendant et après la course. Savez-vous quel est le régime alimentaire des coureurs du Tour de France ?
Un coureur peut brûler entre 6000 et 9000 calories par jour de course en fonction du type d’effort fourni, de la durée de la course mais aussi de son dénivelé, soit 3 à 4 fois plus que pour une personne sédentaire. Les apports énergétiques doivent donc être adaptés en conséquence et chaque repas est important.

Avant le départ, le coureur prend un petit déjeuner composé d’aliments à index glycémique faible avec des glucides (céréales complètes, pain complet qui peuvent être complétés par du riz ou des pâtes complètes), des vitamines / minéraux (fruits, fruits secs, jus de fruits, compotes de fruits, etc.) et des protéines (fromage blanc, yaourt, lait végétal, jambon blanc, omelette, etc.), généralement accompagné d’un thé ou d’un café. Ce repas représente environ 700 calories afin de stocker du glycogène dans les muscles.

Durant la course, les coureurs ont besoin d’un apport en glucose immédiat afin de maintenir la glycémie grâce à toute une gamme de nutrition sportive. Les coureurs du Tour de France sont donc amenés à consommer des barres de céréales, des gels énergétiques, des pâtes de fruit mais aussi des sachets de fruits ou des gourdes de compotes, ainsi que des en-cas salés comme des cakes ou des tartes afin de ne pas saturer l’organisme en aliments sucrés et de varier les plaisirs. Sur une étape du Tour de France, en fonction de l’effort demandé (durée de la course, dénivelé, etc.), un coureur est généralement amené à consommer une barre de céréales et un gel énergétique par heure, assortis d’un en-cas sucré toutes les deux heures, en alternance avec la compote ou le fruit, soit une consommation de nourriture toutes les trente minutes environ pour éviter la fringale.

Sitôt l’arrivée franchie, les coureurs prennent une collation dont le but est d’aider à la récupération et de restaurer les stocks de glycogène musculaire et hépatique afin de ne pas endommager la fibre musculaire. Dans l’ordre, le coureur consomme une boisson gazeuse salée (pour réhydrater et faire tampon avec l’acidité accumulée durant l’effort), une ou des boissons sucrées en illimitée durant une heure et demie (au choix du coureur : soda, jus de fruit, sirop, etc.), des aliments semi-liquides (comme une compote de fruits qui a également l’avantage de stopper l’acide lactique). Enfin, vient le moment de la collation solide (riz, pâtes, polenta, pommes de terre, taboulé, cake salée, jambon blanc, etc.).

Le dîner du soir sert quant à lui surtout à reconstituer des réserves pour le lendemain : l’essentiel des calories perdues durant la journée ayant été compensé par la collation de l’après course. Ce repas est donc avant tout composé de glucides (qui servira de carburant pour le lendemain) et de protéines (pour reconstituer la fibre musculaire). La notion de plaisir doit primer pour les coureurs : c’est la raison pour laquelle les repas sont souvent variés et qu’ils ont le droit à un dessert plaisir mais peu gras la plupart du temps. Généralement, l’assiette est composée de deux-tiers de féculents (pâtes ou riz complets) et d’un tiers de légumes (pour les vitamines et les minéraux). Les crudités et le gras sont à bannir pour éviter de ralentir la digestion (qui empêcherait le sommeil des coureurs et qui est nécessaire pour une récupération optimale). Certains prennent également un laitage (yaourt, fromage blanc) et peuvent même s’autoriser un verre de vin à table quelques soirs par semaine.

Maintenant que vous êtes incollables sur l’alimentation d’un coureur cycliste professionnel, que diriez-vous de découvrir quand et que faut-il manger pour une longue course de vélo ?

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